« Quant à l’art qui se pratique dans le tissage, les peintures de sable ou dans la fabrication des objets du quotidien ou d’ornement, qu’il s’agisse de colliers, de parures ou de couronnes, il reflète aussi la profondeur de la relation de l’intériorité et à l’invisible qui le sous-tend. Plus que l’objectif d’aboutir à la beauté de l’objet même, c’est la qualité de la relation à la matière qui le compose, la conscience mise dans le travail, le sens des symboles et des couleurs utilisées, qui traduisent la force de la reliance au monde plus qu’humain. »
(Frederika Van Ingen, « Ce que les peuples racines ont à nous dire »)
Petit à petit, une maille après l’autre, pour se reconnecter à soi, aux autres, au(x) monde(s)…