In Mother Nature we trust
Un fil doré 
,
un fil en dégradé de rouge-bordeaux 
,
tous 2 en mérinos et soie. 
20cm x 220cm (franges incluses) de douceur, chaleur et délicatesse…
Tissée avec amour, patience et passion,
garantie sans matières synthétiques ni démangeaisons ! 
Bientôt au pied de votre sapin? 
… une bonne bolée d’herboristerie, avec un nuage de permaculture, accompagnée d’une douceur d’artisanat laineux 
Voici le petit dernier issu du métier à tisser : le coussin « Aléria », 40 x 45 cm.
Le fil blanc est gaumais, le rose est corse (ramené de vacances, suite à une visite inoubliable chez Lana Corsa, où j’ai tissé pour la première fois 
). Le fil bleu est en bambou, le bordeaux est un mélange de soie et de mérinos. 
La toile arrière est en lin, le rembourrage en 100% laine. Il est lavable en machine, jusqu’à 30°.
Il sera à vendre, avec ses camarades tissés et crochetés, le dimanche 17 octobre au Marché des Artisans de Virton, organisé par L’effet local – ASBL, dans le cadre de la 2ème Journée du Consom’Acteur. J’y serai de 9h à 13h.
J’y vendrai également les herbes, tisanes, confitures et sirops de ma collègue, amie et collaboratrice Isabelle Monnier, permacultrice et herboriste des Tisanes de la Strange (quel joli nom pour moi qui suis – encore un petit peu – prof d’anglais 
).
J’y présenterai globalement notre projet, ses différentes facettes, les formations, et l’Officine (qui ouvrira bientôt – affaire à suivre !!) 
Au plaisir de vous y (re)voir 
1er ouvrage avec le « Rigid heddle loom », mon nouveau métier à tisser portatif…
835m de fil 100% alpaga !
Il y a plein d’imperfections, de distractions,
mais la deuxième moitié est bien plus régulière que la première,
et surtout, ce fut un plaisir intégral !
J’ai hâte de recommencer avec d’autres couleurs, d’autres motifs, d’autres fils…
« Quant à l’art qui se pratique dans le tissage, les peintures de sable ou dans la fabrication des objets du quotidien ou d’ornement, qu’il s’agisse de colliers, de parures ou de couronnes, il reflète aussi la profondeur de la relation de l’intériorité et à l’invisible qui le sous-tend. Plus que l’objectif d’aboutir à la beauté de l’objet même, c’est la qualité de la relation à la matière qui le compose, la conscience mise dans le travail, le sens des symboles et des couleurs utilisées, qui traduisent la force de la reliance au monde plus qu’humain. »
(Frederika Van Ingen, « Ce que les peuples racines ont à nous dire ») 
Petit à petit, une maille après l’autre, pour se reconnecter à soi, aux autres, au(x) monde(s)… 
